Inspirations
Une raison d'être
Qu'est-ce ?
La Raison d’Être d’une organisation exprime ce qui la meut, le sens que revêt son existence dans ce monde. Sa mission mais aussi la manière, la coloration particulière avec laquelle elle l’accomplit.
A quoi ça sert ?
Formuler la Raison d’Être d’une organisation sert à affirmer son identité, à l’interne comme à l’externe. A attirer à elle les partenaires et clients dont la Raison d’Être implicite ou explicite résonne avec la sienne.
Elle est aussi, pour ses acteurs, une boussole servant à ajuster ses actions, à ne pas se perdre dans l’océan des opportunités et sollicitations.
Comment la définit-on ?
Sa formulation répond à deux questions entremêlées :
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Qu’est-ce que notre organisation apporte au monde ?
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Comment le monde vient-il chercher notre organisation ?
Croiser les réponses à ces 2 questions permet d’ajuster l’aspiration interne aux besoins extérieurs et éviter ainsi de gaspiller son énergie dans des projets qui ne rencontreraient que peu d’échos.
Au démarrage de son activité, une organisation ne peut répondre qu’à la première question. Elle se réajustera, avec le temps.
Formuler la Raison d’Être est une des premières étapes de la mise en place d’une gouvernance participative.
Elle se réalise à l’aide de pratiques d’Intelligence Collective avec tout ou partie des acteurs de l’organisation.
La raison d'être de myDPC DESiGN
La Raison d’Être de myDPC DESiGN rejoint la célèbre phrase du Mahatma Gandhi « Soyons le changement que nous voulons voir dans le monde ».
Prouesses technologiques, efficacité organisationnelle en situation stable, standardisations, … sont les bénéfices que nous avons tirés vers le haut. Mais ce choix a également entraîné de la perte de sens, de la rigidité, une faible résilience en situation fluctuante et des crises systémiques inévitables car le vivant n’est ni cloisonné ni mécaniste, mais profondément sensible, agile et connecté.
Peut-on changer de culture et réapprendre à nous relier sensiblement à nous-même, aux autres, à l’ensemble du vivant, humain et non-humain, pour vivre mieux, ensemble, sur cette Terre ?
C’est ce que myDPC DESiGN souhaite apporter au monde, en guidant pour designer pour ceux qui comptent vraiment : les humains et les non-humains.
Nos sources
Biomimétisme :
Une leçon de 3,8 milliards d’années
Le biomimétisme est l’art d’imiter les solutions que la nature a développées sur des milliards d’années pour répondre aux défis auxquels elle fait face. En observant et en s’inspirant des écosystèmes naturels, nous pouvons concevoir des technologies, des processus et des modèles plus durables et efficaces.
La vie est apparue sur Terre il y a environ 3,8 milliards d’années, soit 47 500 000 fois la durée moyenne de nos existences humaines. Durant cette vaste période, la vie microbiologique a dominé, et Homo Sapiens n’existe que depuis 200 000 ans. En d'autres termes, la Terre a mené une gigantesque expérimentation de recherche et développement en matière de durabilité écologique.
La vie crée et entretient les conditions propices à son propre maintien, à chaque instant.
Si nous devions définir la raison d’être du vivant, elle pourrait être : "Rester vivant, ensemble, et se reproduire". Le mot clé ici est "ensemble", car c’est dans cette interdépendance que le vivant trouve sa force.
De cette raison d’être découle un réseau d’interconnexions entre tous les règnes et espèces, fondé sur des stratégies relationnelles telles que : molécules de base communes, diversité, coopération, intelligence collective, symbioses... La compétition, bien que présente, est minoritaire. Elle se manifeste surtout à l’intérieur des espèces, et souvent dans des contextes d’abondance. Cependant, cette stratégie est peu retenue par la nature, car elle est coûteuse en énergie et peut être risquée pour les espèces impliquées.
Cette définition contextualise bien l'approche du biomimétisme en début de texte. Qu'en penses-tu ?
Les + représentent des interactions positives, les 0 des interactions neutres, les – des interactions négatives pour l’une des deux ou les deux espèces.
Et ce Vivant, nous en sommes partie et héritiers, malgré notre illusion de séparation.
Le Vivant possède donc un fonctionnement systémique, basé sur la prépondérance des interrelations entre les différents éléments de l’ensemble. Des interrelations qui font l’évolution et l’innovation, à force de se frotter les uns aux autres, de jouer avec les contraintes du milieu. Tout y est relié, de l’infiniment petit bactérien, à l’infiniment grand.
Or, depuis le siècle des Lumières, nous avons fait le choix méthodologique de l’analyse pour « comprendre le tout par l’observation des parties ». Cela nous a mené à classer, séparer plutôt que relier. Nos cursus d’éducation et de formation qui ne mêlent pas ou peu les matières et cloisonnent plus tard les expertises sociales, environnementales, biologiques, historiques, en sont les héritiers …
La limite de ce choix est qu’il nous a bien mal outillés pour apporter une réponse adaptée au souci global qui est le nôtre aujourd’hui et que notre vision morcelée du monde est probablement ce qui nous a menés là où nous en sommes.
Écologie des pauvres : une conscience incarnée du Vivant
Qu’ils soient d’Amérique du Nord, du Sud, d’Australie, de Mongolie ou d’Afrique – qu’ils soient Kogis, Navajos, Hopis, Aborigènes, Mongoles… – ils ont en commun d’avoir gardé et d’entretenir la conscience incarnée de leur appartenance au Vivant, visible et invisible. Cette perception d’inclusion, qui était aussi la nôtre il y a longtemps, reste ancrée dans leur culture et leur mode de vie.
L'écologie des pauvres, un concept qui dépasse la simple protection de l’environnement, met en lumière la manière dont les populations marginalisées, souvent victimes de l'exploitation économique et écologique, développent une relation particulière avec la Terre. Pour ces peuples, l'environnement n’est pas une ressource à exploiter mais un écosystème auquel ils appartiennent, et qu'ils se sentent investis de préserver, malgré leur vulnérabilité face aux crises environnementales et économiques.
De leur conscience aiguë d'appartenance, nourrie par des observations séculaires et des perceptions sensibles issues de leurs traditions orales, découle une cosmogonie riche qui façonne leur vision du monde. Cette vision circulaire, englobant le cycle de vie-mort-vie, inclut leur propre place dans cet équilibre global. Ils se perçoivent comme les gardiens du Vivant, responsables de transmettre un monde en bonne santé aux générations futures, jusqu’à la fameuse "septième génération".
Leur relation à la nature est empreinte d’un profond respect et d’une immense gratitude. Ils cherchent à s’inscrire dans la continuité du Vivant, à accompagner la nature, non pas en la dominant, mais en participant à son évolution naturelle et à sa fécondité. C’est là un pilier de l’écologie des pauvres : défendre la Terre, non seulement comme un lieu de survie, mais comme un espace sacré qui doit être respecté et préservé.
Ils ont intégré avec finesse la toile d’énergie invisible, l’intangible et le mystère qui sous-tendent toute création. Leurs pratiques spirituelles et sociales soutiennent cet espace où tout naît avant de se manifester dans la matière : que ce soit les harmonies, les déséquilibres, les maladies ou les équilibres naturels. Cette sensibilité les pousse à trouver un équilibre subtil entre le visible et l’invisible, entre le matériel et le spirituel.
Ces peuples, malgré les pressions économiques et les agressions sur leurs territoires, incarnent une conscience globale, où l’humain se reconnaît comme acteur du Tout, en harmonie avec les autres espèces et l’environnement. Leur approche, bien que souvent perçue comme marginale ou archaïque, propose une alternative essentielle dans un monde en crise, où le respect du Vivant et l’économie des ressources sont devenus cruciaux.
La Nuhé, construction circulaire des Kogis, est bien plus qu'un simple abri. Mesurant entre 7 et 9 mètres de diamètre, surmontée d’un toit conique et dotée de deux portes basses opposées, elle est construite selon un processus minutieux où chaque élément – pierres, troncs, lianes, palmes – porte un sens symbolique profond. Chaque composante de la Nuhé raconte une histoire et joue un rôle clé dans la transmission des savoirs ancestraux. Pour les Kogis, cet édifice représente à la fois le cosmos et l’utérus de la Mère universelle, créatrice de toute chose.
En entrant dans la Nuhé, l'homme retrouve l’ambiance sécurisante et protectrice de l'utérus. Ce lieu sacré est conçu pour reconnecter l'individu à la nature, au cosmos, et à la source de toute vie. C’est un espace où la transmission des savoirs se fait de manière holistique, en sollicitant non seulement le mental, mais aussi les émotions, les perceptions et l’intuition.
Ce qui distingue ces communautés de notre approche moderne, c’est leur intimité profonde avec le Vivant. Leur savoir est ancré dans l'expérience sensorielle directe : ils connaissent la nature non pas seulement à travers des livres ou des données scientifiques, mais en vivant en harmonie avec elle. Cette connaissance incarnée, enrichie par des siècles d'observation et de respect pour le cycle de la vie, leur permet de développer une sagesse que notre monde contemporain a en grande partie perdue.
Ce modèle de savoir et de transmission est une source d'inspiration majeure pour nous. Il montre que la transformation ne peut être purement mentale ou technique ; elle doit également passer par le corps, le cœur, et l'âme. C’est précisément ce que nous cherchons à faire avec notre approche : offrir un cadre où l'individu peut renouer avec l’ensemble de ses dimensions pour atteindre un équilibre durable, tant dans sa vie personnelle que professionnelle.
Permaculture : Une Approche Éthique pour un Équilibre Durable entre Humain, Nature et Société
David Holmgren et Bill Mollison, tous deux australiens, alertés dès les années 70 par les dégradations environnementales et sociales causées par notre culture capitaliste, ont cherché à comprendre quel saut culturel nous permettrait de devenir une espèce soutenable. Pour cela, ils se sont inspirés du fonctionnement du Vivant et de ses stratégies, ainsi que de la sagesse ancestrale des peuples en harmonie avec leur environnement.
De cette réflexion est née la permaculture, contraction de "permanent-culture" ou encore "permanent-agriculture". Plus qu'une simple méthode agricole, la permaculture est une approche globale de conception de systèmes humains résilients et durables, intégrant harmonieusement les besoins de l’humain, de la nature et de la société. Elle propose de repenser notre rapport au monde pour créer des environnements où l'équilibre entre la production, la régénération et la préservation des ressources est central.
Son éthique repose sur trois principes fondamentaux :
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Prendre soin de la Terre : comprendre que toutes les formes de vie, visibles et invisibles, sont interconnectées et doivent être protégées pour garantir la pérennité de notre écosystème.
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Prendre soin des êtres humains : reconnaître les besoins vitaux des individus tout en favorisant une organisation sociale plus équitable.
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Partager équitablement : redistribuer les surplus, qu’ils soient matériels ou immatériels, pour assurer une gestion éthique et durable des ressources disponibles.
La mise en application de la permaculture s’articule autour de 12 principes éthiques, offrant des solutions concrètes pour concevoir des systèmes en symbiose avec la nature. Ces principes peuvent être appliqués à divers domaines, qu’il s’agisse d’agriculture, d’urbanisme, de gestion de l’eau, d’énergie ou même de création d’organisations humaines.
En intégrant ces principes dans nos modes de vie et nos pratiques professionnelles, il devient possible de créer des systèmes éthiques, durables et résilients, où l'humain et la nature coexistent en équilibre. La permaculture, loin d’être un modèle figé, propose une approche évolutive et holistique, qui permet de repenser nos pratiques pour construire une société plus juste, en harmonie avec l’écosystème global.
Depuis les années 70, c’est essentiellement l’axe agricole qui a bénéficié du développement de pratiques permaculturelles, avec des exemples, en France, comme la Ferme du Bec Hellouin, la Ferme du Bouchot, … mais ses fondateurs envisageaient bien une application de cette philosophie de vie sur Terre à toutes les sphères de notre existence, du potager à la santé, en passant par la gouvernance et le développement personnel, l'économie finances, l'habitat, ...
Depuis peu, la permaéconomie, terminologie initiée par Emmanuel DELANNOY, la permaentreprise de Sylvain BREUZARD, l'économie symbiotique d'Isabelle DELANNOY, l'économie bleue de Gunter Pauli, ou encore l'approche de la permacomptabilité créée en 2019 par Charles JUDES, sont tous des modèles de transposition des principes du vivant à l’entreprise et au management des organisations. Ces principes, robustes, systémiques et déclinables à de nombreuses échelles d’action, permettent de guider la conception de modèles économiques, de modes de production ou d’organisation, et d’en piloter la mise en œuvre.
Ces modèles consistent à élargir et transposer l’éthique et les principes de la permaculture dans le champ de l’économie et du management. Ils permettent notamment l’exploration de nouvelles sphères d’innovation dans les domaines de l’organisation, du management, de l‘intelligence collective et de la coopération. Ceux-ci s’appliquent particulièrement bien à la conception de modèles économiques et de modes de productions relevant des concepts d’économie circulaire et de l’économie de la fonctionnalité et de la coopération.
Spiritualité et Épanouissement Personnel : Cultiver une Vie Alignée avec Ses Valeurs
La spiritualité est souvent perçue comme un voyage intérieur qui va au-delà des croyances religieuses pour toucher au plus profond de notre être. Elle nous invite à explorer notre connexion avec nous-mêmes, avec les autres et avec l'univers dans son ensemble. L'épanouissement personnel, quant à lui, est un processus dynamique de développement et de réalisation de soi, où nous cherchons à maximiser notre potentiel et à vivre en accord avec nos valeurs profondes.
Intégrer la spiritualité dans le parcours de croissance personnelle permet de cultiver une plus grande harmonie intérieure et une vision plus claire de notre chemin de vie. Cela implique de se reconnecter à notre essence, de cultiver la pleine conscience et de nourrir un sens de l'émerveillement et de gratitude. En ce sens, la spiritualité offre des outils précieux pour surmonter les défis, trouver un sens profond à nos actions et développer des relations authentiques et épanouissantes.
Ce voyage vers l'épanouissement personnel est enrichi par la pratique régulière de la réflexion, de la méditation, et de l'auto-exploration, permettant ainsi de bâtir une vie qui reflète véritablement qui nous sommes et ce que nous aspirons à devenir. Il ne s'agit pas seulement d'atteindre un objectif, mais de découvrir et d'embrasser la richesse de notre propre existence à chaque étape du parcours.
L'anthropologie et l'ethnologie sont des disciplines qui explorent la diversité des cultures humaines et les dynamiques sociales à travers le temps et l'espace. L'anthropologie, dans son ensemble, examine les aspects biologiques, sociaux et culturels de l'humanité, cherchant à comprendre comment les sociétés évoluent et se transforment. L'ethnologie, une branche de l'anthropologie, se concentre plus spécifiquement sur l'étude des cultures et des modes de vie des groupes humains à travers des recherches de terrain et des observations directes.
Ces disciplines offrent des perspectives profondes sur la manière dont les sociétés se construisent, se gouvernent et interagissent avec leur environnement. Elles nous permettent de découvrir les systèmes de valeurs, les pratiques rituelles, les structures sociales et les modes de vie des différents groupes culturels. En examinant les croyances, les traditions et les comportements au sein de diverses sociétés, nous obtenons des insights précieux sur la condition humaine, les mécanismes de socialisation, et les processus de changement culturel.
L'anthropologie et l'ethnologie jouent un rôle essentiel dans la compréhension des enjeux contemporains, tels que la globalisation, la conservation des traditions et la diversité culturelle. Elles nous aident à saisir la complexité des interactions entre cultures et à promouvoir une plus grande empathie et un respect pour les différences. En intégrant ces disciplines dans nos réflexions, nous pouvons mieux apprécier la richesse de l'expérience humaine et concevoir des solutions plus inclusives et éclairées aux défis auxquels nous sommes confrontés dans un monde de plus en plus interconnecté.
Anthropologie et Ethnologie : Explorer la Richesse de la Diversité Humaine
Une trame commune à tout cela
Finalement, quand on observe ce qui fonde le Vivant, les Peuples Racines, la permaculture, ainsi que les pratiques d’Intelligence Collective et de Permacomptabilité, on se rend compte d’une attitude commune, celle adoptée par la Vie qui crée et entretient sans cesse les conditions de la Vie :
Prendre soin, prendre soin, prendre soin pour obtenir des résultats qui, à leur tour, prennent soin.
Prendre soin trois fois car, parmi les stratégies adoptées par ces inspirations, un plus grand nombre d’entre elles ont pour but de prendre soin. Ce principe est au cœur de la Permacomptabilité, qui intègre les dimensions écologiques dans la gestion des entreprises et des organisations pour assurer une harmonie entre les humains, la nature et les systèmes économiques.
Cette posture est l’inversion parfaite de notre culture actuelle, où "obtenir des résultats coûte que coûte" domine et où "prendre soin" est souvent relégué à une tentative de réparer les dégâts. Par essence, ce choix culturel et organisationnel est intenable car extrêmement coûteux en énergie et en ressources, créant des conditions de rareté et de survie là où le Vivant n’a prévu qu’abondance.
Il semble que nous ayons perdu, en chemin, le lien avec la Raison d’Être du Vivant dont nous sommes issus : prendre soin de rester vivants, ensemble.
Comment l’Intelligence Collective et la Permacomptabilité répondent-elles ?
Les pratiques d’Intelligence Collective et la Permacomptabilité cherchent à rendre cet “ensemble” possible et fécond. Elles visent d’abord à prendre soin par l’observation du contexte et des parties prenantes, l’intégration des besoins, contraintes, intelligences et talents présents.
On favorise la diversité des compétences et des perspectives, ce qui est un gage d’innovation accrue. On prend soin du cadre de sécurité proposé par les fondamentaux de la facilitation, créant un espace d’équité, de responsabilité et de liberté d’expression, au moment opportun du processus où les contributions peuvent être entendues, traitées et intégrées. Cela permet d'éviter les communications incomplètes et inefficaces.
On prend également soin de la production du groupe. L’Intelligence Collective et la Permacomptabilité visent à obtenir des résultats qui dépassent le collectif tout en l’incluant. Cette production, obtenue dans l’écoute, le respect et l’intégration des idées de chacun, même sur des sujets délicats, nourrira les relations entre les personnes, bannissant ainsi les jugements destructeurs, le mépris, et la compétition. Cela renforce la trame de confiance et la résilience d’un collectif mieux préparé à traverser ensemble les défis.
On est aussi extrêmement sensible aux signaux faibles du groupe, à l’énergie circulante ou stagnante, et à ce qui ne s’exprime pas totalement ou pas immédiatement. Inviter tout cela à danser avec le vivant du groupe, même si cela retarde l’avancée d’un projet, permet des solutions lentes mais profondes, favorisant un ancrage solide pour des sauts collectifs réels.
Pratiquer l’Intelligence Collective et la Permacomptabilité dans une gouvernance participative, c’est non seulement accepter l’héritage culturel du vivant mais s’y réinscrire, dans le sensible, le tangible et l’intangible, pour produire, ensemble, quelque chose de supérieur à l’addition des parties.